muse-d-hommes

Rien que pour toi

Tu ma encore donné de cette envie qui me tiens souffle coupé, je viens vers toi mon bel inconnu, la tristesse n’est pas de mise, je laisse mes pensés mes rêves mourir au fond de toi, qui c’est si bien  les manier,  me prendre la main quand je ne vais pas bien, me dire c’est mot si doux à mon oreille, que tu trouve trop petite

Ce soir une nouvelle fois je viens vers toi, pour que notre nuit soit douce pleine de caresses, aussi subtile que tes mots, mes draps froissés ce souviennent, de tes mains tremblantes sur ma peau, que ta peau est douce,  à tes dire j’ai rougi, reste un moment juste encore une fois, en moi tu seras, pour ton plaisir je me ferais petite fille, pour tes envies je me ferais femme, pour tes fantasmes je me ferais maitresse

Devant ton regard mes yeux ce baissent, mes lèvres ce font sèches, mon bas ventre devient chaud cette douce chaleur que tu aimes sentir en moi, mes mains sont tiennent, mon corps que tu aimes est à toi, mes yeux sont troublés à ta vue, mon corps réclame des tes caresses, ce tord d’envie, mes muscles sont a l’écoutes de tes moindre désirs, je m’offre à toi dans toute ma pureté

Nos corps ce touchent enlacés dans ce moment magique ou nous n’entendons rien,  tes mots deviennent un murmure à mon oreille, je sens ton souffle sur ma peau, en ce moment je ne ressent que tes doigts sur moi, je me laisse fondre en toi, nos corps ainsi uni ne font plus qu’un, nul n’est besoin de pénétrer mon intimité,  nos mains dansent sur notre peau, tes caresses me laisse comme cette poupée faite de chiffons, je ne ressent que ce que toi tu as envie tu ressent ce que moi j’ai envie, je tes laissé me mener vers toi, doucement je me suis glissée sur toi, je tes frôlé pas une envie que tu me prenne, juste sentir ton corps sur le mien dans cette douce chaleur tu as rassuré toutes mes peurs, j’attendais de voir ton regard, le toucher de tes mains

Je me souviens des mots, bien des vies ne ce souviendront pas de leurs moments de rêves ou de puissance, en t’écoutant j’attendais, pour expliquer enfin le pourquoi du comment,  je serais ta colombe la ou ici rien ne me retienne, je quitterais  pour voler vers toi, puisque rien ne sera plus beau que ce dernier voyage sur la passerelle de ce débarquement je monterais les marches pour aller sur le pont, avec une coupe de champagne tu m’accueilleras nos regards ce croiseront et la après notre peine nous attendrons de cet espoirs, ont ira près de la piscine nos corps fondront dans ce délicieux mélange notre sueur couleras en nos corps quand tout devient si frêle chaque plaintes sera en toi, serais-je te donner cette joie, je serais être la pour toi, afin d’éveiller toutes tes envies, dans nos silences notre violence je n’ai pas peur

Je saurais bien apprendre, ton impatience deviendra ma patience

Bettys