Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 21:27

 

 

FEMME.JPG

Ecriture sur le non dit

 

Je ne vais pas commencer par il était une fois, car c’était bien une première fois et non une fois

Histoire vrai ou fausse à lire entre les lignes, et  laisser guider vos yeux avec délice, tout comme je les fais

 

Nous étions quatre,  nous avions décidées d’aller manger et faire un peu la fête histoire de ce détendre, je n’avais pas très envie de sortir, prémonition sixième sens, ca je ne le saurais jamais

Nous voila partie toutes les quatre, sur de passer une bonne soirée, le restaurant fut animé de rire de blagues,  de prise de photos, tout cela dans une ambiance bonne enfant qui veulent s’amuser , je restais malgré tout un peu effacée comme à mon habitude, pas que je sois la dernière à  rire mais quand je n’ai pas envie je reste toujours en retrait, même quand je veux y aller je m’efface très vite afin de laisser aux autres toute les chances qu’elles peuvent avoir, pas que je ce soit à dire que je suis la mieux de nous toutes, mais c’est ainsi et je ne comprends pas toujours pourquoi ,  je suis malgré tout réservée devant tant de brillance tant d’assurance de mes amies,  leurs rire me font sourire même si parfois ma tête tourne un peu, car on pourrai y voir un poulailler ou ça cacotte de toute part

Le restaurant terminé vers minuit, nous décidons d’aller danser, cela à l’humanité de toutes moi y comprise, danser est une sorte de vie la ou je peux exprimer mon corps en me moquant des regards, les hommes peuvent regarder sans jamais toucher, quoi que parfois ils ce font un malin plaisir de vous frôler, je ne regarde personne  je ne vois rien, je suis dans ma bulle et laisse mon corps ressentir cette musique qui m’envahit   peu à peu, parfois il m’arrive un moment de sortir de cette bulle, je relève la tête, les regard sont sur moi, une ronde d’hommes autour de moi me regarde, leurs yeux sont tous fixer sur ce corps qui ce bouge au rythme de la musique , mais peu m’importe je peux retourner très facilement dans cette bulle et ressentir toute la vibration de cette musique qui semble être la que pour moi, elle sonne dans ma tête, fait battre mon cœur plus vite, mes muscles sont à l’écoute et suivent tous les mouvements que je fais, nous ne faisons plus qu’un, je viens de m’égarer un peu sur cette musique, je revis un peu chacune de c’est heures de plaisirs

 

Nous sommes à rire à boire, à danser, a papotées, cela dure depuis peu j’en ai l’impression, j’ai regardée mon bras pas de montre j’ai omise de la mettre, quand une voix me dire une heure trente du mat, instinctivement j’ai regardée mon  bras, cette voix d’homme je ne la connais pas, je relève mes cheveux, ma mèche me cache un peu  de ce visage qui me sourit, d’un geste de la main je la relève, je la sent humide, mon corps entier ruisselle, mes vêtements collent à ma peau, ses dents scintillent dans les lumière tellement  elles sont d’une blancheur, mes yeux sont fixés sur ça, j’essaie de me reprendre mais il à vu mon désarroi, je me sent gauche tout à coup, moi qui l’instant d’avant avais une confiance en moi, j’ai cette impression souvent perçu qu’il me déshabille des yeux , je ne peux dire leurs  couleurs, il ce tiens la devant moi, je ne sais quelle attitude adopter , une amie vient à mon secours, elle est douée moi pas, elle entame la conversation avec lui, je connais bien ce regard quand un homme lui plait, du coup je m’installe un peu à l’écart, afin de lui laisser cet homme qui un seul instant ma troublée, je bois un peu car ma gorge est sèche, j’essuies mon visage, je relève la tête oui souvent baissé je le sais on me le dis très souvent, un peu pour me cacher de tout ça, quand je sent son regard sur moi, il parle avec mon amie, en me lançant des regards qui je le sent ne sont pas inoffensifs, j’essaie de plus en plus de m’effacée, je ne veux pas que mon amie pense que j’ai des vus sur lui et lui laisse volontiers la place, je me lève et retourne sur cette piste qui semblait me dire viens la tu seras bien, la musique est forte mais je l’aime et repars dans ce tourbillon, tout à coup une main me tire contre un corps grand musclé, je n’ose pas relever ma tête car cette fois je suis sure que c’est lui, je le regarde, il me fixe avec des yeux qui brillent, il me colle à son corps, me dit, viens danser avec moi bettys, comment c’est-il mon prénom je le saurais plus tard car la son ton est si déterminant que  je n’ose rien dire, je lui obéis,   la est peut être ma faute, nous dansons son corps colle au mien, nos jambes s’emmêlent ce croisent ce décroisent, mes pieds ne touchent pratiquement plus le sol, je me sent enivrée, sa main est sur la cambrure de mes reins, je sent la pression qu’il a de me tenir tout contre lui, il est comme moi en éprouve un grand plaisir, je le vois quand nos yeux ce croisent, ils sont de plus en plus brillants sans aucun doute les miens le sont tout autant , la musique s’arrête, ont reste la collé l’un à l’autre, je sent les regards sur nous, je le repousse doucement il attrape ma main la m’est à sa bouche, ses lèvres sont douce et chaude, elles glissent sur ma main il me tiens toujours au creux de ma cambrure, la musique repart de plus belle, je veux le fuir sinon je ne sais pas si ma résistance va tenir bien longtemps, il m’attire violement tout contre son corps sous le coup je me cambre ma tête vacille sa brutalité est si forte que lutter est vain pour moi, je me plis à son désirs comme s’il voulait me prendre la sur la piste, me faire l’amour devant tous c’est gens, soudain je me lache, il le ressent et son étreinte devient plus présente plus forte,  je faiblis comme une onde qui viens caresser mon corps, il pose ses lèvres sur les miennes aucune résistance de ma part, sa bouche est chaude, sa salive coule dans ma bouche, nous ne sommes plus la, nous entrons dans un autre monde, ce monde ou la magie de deux corps inconnu l’un à l’autre, il me tiens très serré tout contre lui, m’embrasse avec un envoutement sans égal, ses baisers non rien de doux, je sent que son corps devient plus dure, il est sur de lui sur que je vais être a lui, il n’a plus aucun doute…………………

Nous revenons à notre table, la j’ai droit à un regard mitrailleur de mon amie, elle va vers lui, mes ses gros seins sous son nez , je ne regarde pas veux rien voir, elle l’aguiche avec ses propres atout a elle, ses éclats de rire, elle ce dandine devant lui, je vois par moment ses rondeurs rebondir, comme de gros ballon gonflable, je jette un œil sur les miens et me dis, devant ca aucune chance bettys, mais pas grave cela me gêne pas, non vraiment pas elle le veut je lui laisse, elle vient vers moi et me dis qu’est ce qu’il est beau, je la connais bien et je sais que pour elle tous les hommes sont beaux, normal c’est une femme à hommes, mais pour le coup c’est vrai qu’il est beau, grand bien musclé, un beau visage, tout pour plaire rien qu’à voir le regard des autres filles dans la salle je sent que oui c’est vraiment un bel homme, je pense m’effacée car je n’aime pas faire de la compétition surtout avec une amie, même si celle-ci ne ce gêne pas pour essayée de prendre tout homme qui s’approche de moi, donc encore une fois je me met à l’écart, bois un peu de ce cocktail asse doux   ma tête ne tourne plus, mon cœur c’est calmé, je me sent bien mais n’ose pas bougée, le manège continu entre mon amie et lui qui semble apprécié c’est rondeurs, j’ai un haut de cœur comment un homme peut apprécier des rondeurs pareil, si j’étais homme je ne pourrais faire quoi que ce soit avec cette femme très sympathique d’ailleurs  mais le gras qui rebondit de son ventre ses bourlets qui dépassent de ce pantalon qui la serre à un point que je me pose la question mais comment peut elle respirée, moi qui n’aime pas être serrée je ne pourrais décidément jamais supportée tout ce poids, quitte à ne pas avoir de ballons gonflables je me préfère sans aucun soucis, lui est heureux semble t-il il ce fais toucher de partout les mains les fesses , elle le caresse de ses main grassouillettes avec des bagues ou déborde la chair, je me dis si tel est son plaisir moi je n’y vois pas d’inconvénient  et lui laisse en me disant rien loupée,

Je me sens lasse avec comme une envie que tout cela me saoul plus que ne ça m’amuse, je décide donc de sortie un peu dehors l’air frais me fera le plus grand bien,

Nouvelle-image3.JPG   
Je fume tranquille ma cigarette je la savoure à l’intérieur trop de fumer la dehors l’air est frais me rafraichit je sent une paix intérieur comme je les aiment  mon corps frisonne un peu sur cette différence de température mais je ne l’écoute pas, parfois je devrais un peu l’écouter, mais ça ché pas faire, je suis au pas de la porte et regarde le ciel sans aucune étoile rien que le noir le néant mais je suis bien, voila que la porte s’ouvre ou plutôt s’entrouvre, je penche la tête pour voir qui tente de sortir par cette belle nuit sans étoile, parfois le patron vient discuter avec moi ont parle des choses de la vie de sa famille enfin de compte de tout et de petit rien, mais à ma grande surprise, voila cet homme qui vient vers moi, que fais tu dehors toute seule ? est ce une question ou un interrogatoire lui demande, on à comme l’impression que quelque part c’est comme un ordre, je répond en regardant autour de moi, je le pense oui, il n’a pas l’air de gouter à mon humour, cela m’agace, tout compte fais je suis bien refroidis , et sa vue sur moi me gène, rentre me dit il, je refuse, il ce fait plus doux me regarde dans les yeux      je suis prête a protestée soudain il me donne un baiser qui me réduit au silence, je vais lui donner le nom de tombeur, cette pensée que traverse l’esprit, il me dit tu viens ont part, je recule lui dit non, la j’ai comme l’impression à son regard que je les offensé comment une femme peut lui dire non, je les un peu déboussolé, tant mieux je me sent plus forte tout à coup, de brève durée, il me prend par la taille et murmure à mon oreille, tu n’es pas facile toi je vais te faire voir ce qu’un homme peut faire à une femme quand le désir monte fort en lui, je tente de protestée, mais il ne me laisse pas parler son ton monte, sans que je te touche, la je reste pantois et me dis il ce fou de moi la, si il croit que je vais le croire la ….

Je me suis retrouvée dans son appartement sans trop savoir comment n’y pourquoi, il me dit installe toi, je te prépare un cocktail à ma façon, de retour il me tend ce verre aux couleurs très belle rouge orangé blanche jaune, comment as-tu fais c’est surper beau comme couleurs, il répond pas je vais pour mettre ce verre multicolore a mes lèvres quand je suis prise d’un doute, n’a-t il pas mis autre chose que ce qu’il ma dit, je repose le verre, voyant ma méfiance il boit une grande gorgée de son verre et me le tend, je prend ce verre le porte a mes lèvres une nouvelle fois mais le doute reste et je repose ce verre, il voit que rien ne m’enlève ce doute que j’ai en moi, il n’insiste pas ce rapproche de moi, tout en léchant mes lèvres sa main court le long de mon buste, je sent sa respiration devenir de plus en plus saccadé la mienne devient au rythme de la sienne on a cette impression de déjà vue nous sommes au point quand nous dansions, sa main presse un peu plus ma peau il me caresse sans descendre, cette caresse est douce elle me met en confiance et je commence à me détendre, ses lèvres sont de plus en plus gourmande, sa main descend le long de mon corps, vat sur mes cuisses monte entre mes  jambes mais il ne me touche pas, n’y mon sexe n’y mes seins, pensant à un certain respect j’apprécie d’autant plus ses baisers, ils deviennent de plus en plus brulant nos lèvres semblent soudées, je rentre dans un tourbillon, il me dit je vais te bander tes yeux ai confiance en moi, il perçoit une certaine hésitation me prend doucement la main la caresse, ai confiance si tu ne veux pas je ne le fais pas, je vois dans ses yeux le contraire et un peu malgré moi j’obéis ne voyant plus rien je suis dans le noir complet, il me tire doucement à lui je sent sa respiration, il me guide je ne sais pas ou vat-il me mener, je lui pose la question est ce que je peux enlever cet chose quand je le voudrais, sa réponse fut très net mais pleine de douceur, je me cogne au mur, ma main tâte tout est si noir et ce bandeau me sert très fort mes yeux ma tête, nous sommes dans une autre pièce car je ne sent pas la même odeur, une douce chaleur ce trouve dans cette pièce au parfum de bougie, je lui dis dommage si il y a des bougies que je ne les vois pas, pour toute réponse il me pousse et je me retrouve sur que je pense être un lit, il attrape mes poignets, étant prise au dépourvu je tente un instant de lutter ce fut très brève car ses  lèvres devant ma désobéissance ce colla aux miennes, je sentais sa respiration tous mes sens sont en éveil car le noir est complet, je sent que mes poignets sont emprisonnés dans quelque chose de froid, je veux tirer dessus un bruit de chaine me fait sursautée, que ce passe t-il,  il ne répond pas je me rend compte que tout le temps ou mon esprit était pris mes chevilles sont elles aussi attachées avec quelque chose de plus doux ou je peux légèrement les bouger,   que veux tu ?  ma question reste sans réponse, j’attend telle que je suis quand ses mains caressent mon corps je sent qu’il dégrafe ma jupe, ouvre mon bustier, je pense que je vai finir nue sur ce lit, mais il s’arrête net, je sent qu’il doit soit reculer ou je ne sais pas j’essaie de sentir tout afin de comprendre ce qu’il fait, son pantalon tombe au sol il ne dit mot il se colle près de moi je sent la chaleur de son corps, ses mains font une danse sur mon corps ce qui me plait beaucoup je me laisse faire cette douceur étant très agréable, ses lèvres reviennent sur les miennes , je pense qu’il va venir encore plus près de moi tout contre moi, j’en éprouve une envie folle le faite de ne pas pouvoir bouger de ne rien voir seule mon imagination me fait un effet très agréable, je lui dis doucement c’est très agréable tout ça, sa réponse m’étonne, ne dis rien apprécie, je me tais en pensant il a raison il vaut mieux que j’apprécie , il continu toutes ses caresses sans toucher mes parties intime, mon corps commence à en vouloir plus il ce tord mes poignets me font mal mais la douceur de ses mains sont est la plus forte et j’en oublis mes poignets, je commence à avoir ce besoin de lui rendre ses caresses de le sentir tout contre moi, nos souffle sont devenu roque lourd la pièce me semble très chaude, cela doit venir des bougies au parfum si délicat, quand il arrête ses caresses j’en redemande, demande mieux que ça me dit il,  le ton est sévère, et la tout a basculé je ne sais pas comment mais je ne le senti plus, aucune caresse sur mon corps chaud sur lequel des gouttes coulent c’est très agréable, je ne dis rien de peur de le froissé, tu vas obéir a toutes mes demandes, je ne dis rien une pensée à cet instant est dans ma tête je ne citerais pas de qui est cette pensée par respect pour lui, je suppose que c’est de l’eau qui coule sur moi tout en étant incertaine que ce soit un liquide, je sent sur mon corps quelque chose de froid comme du fer qui ce promène sur ma peau ce froid me fait une sensation qui doit lui plaire au plus au point car j’entend sa respiration s’accélérer, je ne me trompe pas sur la pensée qui ma traversée l’esprit, mon corps est détendu et en redemande je ne suis plus maitre de moi il devient mon maitre et il le ressent car ses gestes ce font de plus en plus pressant, soudain une douleur me fait crier mon corps se pli sous la douleur je proteste essaie de me détachée  je remues comme je peux mais rien y fait la douleur recommence c’est la que je sent le cuir meurtrir mes chairs des larmes coulent et s’arrêtent la sur ce bandeau, il ne prend pas cas de ma douleur et continu, soudain je sent ses mains sur moi il me retourne de peur j’essaie de me défendre sachant que tout est inutile, je reste immobile et laisse faire ce qu’il veut de moi il claque sur mes fesses je ne connais pas ce genre de pratique je proteste la réponse ne ce fait pas attendre, soit docile ma soumise maintenant tu es rie qu’à moi je suis ton maitre tu dois tout me donner de toi me murmure t-il à l’oreille, je réfléchis très vite si je ne lui obéi pas je vais de nouveau avoir mal, aussi je me fais docile même caline, il apprécit me dit voila comme je t’aime, il ne sait pas que dans ma tête tout tourbillonne à savoir comment je peux faire pour retournée cette situation à ma façon sans l’offusquer, il apprécit cette docilité   son souffle est chaud il le caresse sur mon corps, sans dire un mot je lui fais comprendre,  que j’aime plus cette douceur aux douleurs infligées , de temps à autre il passe son sexe sur moi, je passerai sur tous les autres supplice que sa main ou ce froid me faisait, je lui murmure détache moi une seule main afin que je caresse ton corps, son excitation est- elle  que je sent sa main sur un de mes poignet il ce reprend et me dis pas encore je te veux plus soumise, je lui réponds doucement je serais ta soumise maitre, la ma main fut libérée aussi vite qu’elle fut attachée, je caresses sa peau mes ongles rentre soudain dans sa chair je le sent ce raidir, et je pense à chacun son tour, cependant à ma grande surprise il semble aimer ce mélange de douceur et de sauvagerie de ma part et sans rien lui demander ma deuxième main je trouve libérée, je profite de pofiner mes caresses  mes ongles rentrent ressortent il semble vraiment très apprécié dans un élan il ce retrouve sous moi, dans ma tête ca y va à tout vitesse, et si je devenais la maitresse et lui le soumis ………………….. 
Nouvelle-image-2.JPG

Il a été le charme du diable, j’ai été la force d’ un ange, d’un baiser il ma réduit au silence, j’aurais pu protestée, m’écartée, mais au tréfonds de mon être, je ne le souhaitais pas vraiment, cela reste pour moi une histoire comme une métaphore énigmatique en restant une simple image poétique qui a commencé à prendre un sens inattendu, une histoire incroyable qui pourrait bien être vrai et qui devrait bientôt inspirer, au sens inattendu et presque prophétique.

 Bettys

 

 

Par caresses - Publié dans : caresses de femme - Communauté : bettys
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Pages

Présentation

  • : bettys
  • bettys
  • : homme passion Divers
  • : Je viens de la galaxie d’une étoile appelée « chane » Mon redoutable ennemi est le jour Mon amie est la nuit Mes rêves …. A découvrir .............................................. bettysdu93@hotmail.fr
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • : 22/08/2007

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Commentaires Récents

Profil

  • bettys
  • bettys
  • Femme
  • 01/01/1903
  • sexe gourmande femme homme curieuse
  • si le coeur vous dis en passant de laisser un commentaire il est de mise "libre réponse" critique ou non tout y est permis bien a vous bettys
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus