muse-d-hommes

Mon mec

Ce beau mec va aller dans ma chambre, oui je viens de me le payer avec mes ti euros j’ais même pas économisée car avec toutes les facilitées que on a et bien même pas besoin

Tu entres dans un magasin, et la on t’accueil avec un sourire (à faire damner un saint tout commercial soit il)

Bonjour madame, puis-je vous renseigner

Oui je n’y connais rien et je voudrais une chose de ce genre la (c’est gros heu ca va me prendre de la place ce truc la)

Et la trot de modèle trot de choix (mais la vie est faite de choix à ce qu’on ma dit un jour à ça aussi une longue histoire mais en réalité ma vie est- elle une longue histoire à chaque fois je me dis ça ha oui ça ben y’a à dire  bon je m’égare encore une fois)

Je regarde toutes c’est choses, et tout à coup je le vois la devant moi fier, tout majestueux, me ferait-il un ti clin d’œil ?dans mon fond intérieur suis toute molle j’ai plus de jambe, mon cœur bat la chamade, une goutte de sueur coule sur mon front  , mais que m’arrive t-il, je me penche doucement sur lui, je le regarde, je n’ose pas encore le toucher, un frisson part de ma nuque jusqu’au bas de mes reins, ma main tremble elle s’avance vers lui, je suis toute excitée,  du bout des doigts je le touche doucement de peur de lui faire mal, ma main tremble à ce toucher, il ne bouge pas serait-il docile, de ceux qui ne dise rien quand ont les touche, ma curiosité va-t-elle l’emportée , mon envie devient forte de le prendre contre moi le serrer contre mon cœur  (sage sage Bettys on ce calme la) oui il ne dit rien ce laisse tendrement caresser je le touche et le regarde sur tout les cotés, devant derrière, il ne dit rien ce laisse faire

Le monsieur au sourire me regarde faire, il doit ce dire elle en à une énorme envie  pour réagir de cette façon la, re sourire, il vous plait, vous avez vue quel ligne il a, et vous n’avez pas tout vu, regarder c’est performance, sa puissance, son originalité

Je ne l’écoute pas mes yeux ne peuvent ce détacher, mes mains sont coller à lui, on ne fait déjà plus qu’un lui et moi

Je le prends, je le veux, celui la, pas un autre

Le monsieur au sourire, me dis vous êtes sur, vous ne voulez pas voir avant car nous en avons d’autres, et si vous me permettez le vous montre……

Je l’interrompe, stop non c’est lui que je veux

Le monsieur au sourire voyant ma détermination, n’insiste pas, comme il vous plaira madame

Voila ca y est, je l’installe  dans ma voiture, bien confortablement à l’arrière, je ne les pas mis à coté de moi  car je n’aurais pas pu le voir dans mon rétro

Je roule doucement, car plus j’avance, plus mon cœur ce serre dans ma poitrine, ma respiration est douce pourtant tranquille, je lui lance des regards dans le rétro, il ne bouge pas, bien installé, il a comme une impression de me dire « vas y je suis à toi »

Ouf je suis arrivée, je le prend dans mes bras, hum très costaud, un peu difficilement, je monte les escaliers (suis pas ascenseur)  les marches me semble interminable, ont arrive devant ma porte, je l’installe confortablement sur le divan,  le regarde du coin de l’œil, je vais boire un verre d’eau (ma gorge est sèche) suis dans la cuisine, je reviens le voir dans le salon, non il à pas bouger, il est la aussi fier

Je vais dans ma chambre lui prépare son petit endroit qui va devenir le sien, j’y met tout mon cœur, pour que cet endroit choisi avec soin, lui plaise qu’il ce sente à l’aise, qu’il ce sente bien tout simplement

Ca y est je les installé, je ne me suis pas trompée, l’endroit lui convient à merveille, il a asse de place, cela à bien l’air de lui plaire, nous allons avoir des nuits sans fin tout les deux

Une petite pose s’impose, car mes yeux (c’est foutu yeux) me joue des tours , te vois te vois plus (comme carte à puce te vois te vois plus, ça c’est dans le film Cléopâtre  …  j’ai adorée ce film, beaucoup de subtilité pour ceux qui les découvraient, le plaisirs des dialogues, des images, des rires)   voila que je me perd encore dans mes pensées, donc comme je l’écrivais au début je reviendrais pour vous donnez la suite de mon mec………………….la faut que je sorte un peu ca fait deux jours que je suis dans cet appart, y’a du soleil dehors aller sort bettys !!!!!! Depuis que lounha ma quittée je ne sort plus trot, je vais faire une lettre rien que sur lounha, vous la faire découvrir, il ya tellement de chose entre nous deux, et voila repartie pour un tour, je dois un peu divaguer par moment, mes doigts sur mon clavier (qui à lu cette lettre saura de quoi je parle) glisse mon cerveau ne réfléchit même pas ça vient comme ça

Me re voila

J’en étais ou, ha oui

Je pense que des nuits sans fin vont ce manifesté, dans mon esprit

Je vais me coucher car cette journée fut très éprouvante,  je me déshabille, je passe par la salle de bain, je le regarde, me regarde t-i lui aussi,   j’éteints  la lumière la pièce est noir, mes yeux s’habituent peu à peu et  commence à entrevoir les formes de la chambre je vois mon lit, l’armoire blanche, je ne dévoilerais pas cette chambre outre mesure afin que on ne me reconnaisse pas (humour faut préciser parfois)

Je pense que je ferme les yeux, mais dans ma tête les choses ce bouscule, ma tête est dans un tourbillon d’eau, je suffoque, ma respiration devient plus courte, il faut vraiment que je me lève, je passe ma main dans mes cheveux je veux fuir cette chambre, mais que ce passe t-il, je ne me comprend plus, plus aucune logique tout est en dessus dessous dans ma tête, je me met à la fenêtre, l’air frais me fait du bien, je respire profondément, vais-je avoir le courage de revenir dans cette chambre, qui me semble ne plus être celle que je vois chaque soir, l’air me fait du bien, je reprends mes esprits, je me retourne, il n’est pas la, mon cœur fait un bond dans ma poitrine, je reviens très vite dans cette chambre qui ne m’appartiens plus

La lumière est restée éteinte, je ne supporte plus de ne pas le voir, je rallume je le vois la devant moi, mon corps tremble, je m’approche de lui, me mets devant lui, le regarde, et la commence

Une année entière c’est écoulée ainsi, je ne sort presque plus, je ne veux plus quitter cette chambre, j’y suis bien, il n’y a aucun autre endroit ou je voudrais me trouver, je ne mange plus, 
je ne sort que pour acheter à manger, que je ne mange pas d'ailleurs, je maigris à vu d'oeil, ont s'inquiet pour moi, mais ils ne savent pas comment je passe mes jours mais nuits avec toi, je te cache, je ne veux te partager avec personne, tu n'es qu'à moi, tu es mon complice
 
je ne veux que cette chambre avec toi, ce partage que nous avons nous sommes si bien toi et moi, sans rien, 

je suis restée une année entière enfermée dans cette chambre jour et nuit avec lui, à le découvrir un peu plus chaque jour 

j'ai fini cette belle histoire, avec mon premier PC, depuis je lui est fais des infidélitées, je me suis achetée un pc portable, plus petit, moins important, moins fier, moins tout.

je ne t'oublierais jamais

bn/ il est ranger mais toujours la près de moi dans ma chambre à me regarder dormir