Jeudi 11 octobre 4 11 /10 /Oct 20:57

 

 

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La fellation et son art

Certaines la considèrent comme sacré, alors que  d’autres la considère comme écœurante voir même parfois plus

Tout d’abord il est très important pour nous femmes qui aimons la fellation, d’être bien s’installées car plus ont est bien et mieux nous allons pouvoir apprécier cette manipulation de notre homme ou nos hommes,   nous pouvons nous agenouiller devant ou sur le coté entre ses jambes, à califourchon sur son thorax (pour celles-ci attention si belle chute de reins la fellation sera plus forte pour notre homme car à cette vue nous ne pourrons que l’affoler de plus en plus), tout ce que l’ont veux afin d’être bien

Ne pas ce précipiter sur le gland, intéressons nous d’abord à tout le troisième cercle qu’ils nous faut gâter de caresses et de baisers, puis passez au deuxième cercle, c'est-à-dire le voisinage du pénis, ventre, pubis, face interne des cuisses, périnée, qu’ils nous faut ensemencer de caresses duveteuses, de bisous convaincants et de petits coups de langue

Après l’avoir approché progressivement, lui avoir tourné autour comme pour l’apprivoiser, le faire saliver, nous pouvons commencer maintenant à nous occuper du pénis, car les  caresses semble t-il sans plus ont déjà fais des ravages car notre pénis ce trouve fier son sang commence à battre plus fort, son souffle ce fait plus court, ne pas lâcher sa prise, avec une main prendre la base mettre ses doigts autour, il est bien important de tenir cette base afin que nos mouvements puissent être doux tout en étant ferme, de plus cela nous permet d’avoir  en permanence le contrôle  des mouvements que lui imprime ce touché, ce qui nous permet de l’empêcher d’entrer trop profondément et de nous étouffer, ne connaissant pas cette astuce beaucoup de femmes ont des lever de cœur, cette manipulation bien faite notre homme ne sentira que notre touché

La vient le moment de  retrousser le prépuce (le haut du gland avant le petit chapeau oui je pense que vous savez ou il ce trouve pas difficile),  et d’exposer le gland dans toute sa splendeur, avec le doigt mouillé faire quelques exercices de virtuosités à la surface du frein et de la couronne, avec quelques caresses superficielles ou profondes sur toute la longueur  du fût, suivie de quelques friandises buccales, baisers,  lèchettes,  comme nous savons si bien le faire car nous aimons, alors soyons généreuses

Enfin l’heure exquise est venue, de faire rencontrer notre langue sur tout le long de  ce majestueux et fier vaillant, qui s’impatiente  de ce réjouir, avec la pointe de la langue aussi imparable elle frôle doucement ce qui nous fait languir au point que la irrésistiblement une envie nous prend de la mettre entièrement dans la bouche doucement la langue poursuit son chemin fait des va et vient, lèche les parties de long en large la langue fait des mouvements circulaires la langue est un organe si majestueux elle peut faire les choses aussi douce que forte faire languir, elle le désire tout autant il vient, la chaleur de notre bouche humide rend le bonheur de tant de jouissance qu’il fini pas couler en nous comme un ruisseau va dans la rivière

Bettys

 

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Par bettys - Publié dans : caresses de femme - Communauté : sagesse de femme
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Mardi 2 octobre 2 02 /10 /Oct 18:45

Bonjour ma Bettys!

 

J’espère que tu vas bien. Voici quelques news de ta copine exilée !

 

Ici, tout va bien (à part la pluie fine qui est revenue après un période de très beau temps) Les clients commencent à bien rentrer, ce qui est bien agréable. C’est pas encore le Pérou, mais ça va venir. Patience, patience…

 

Ici, c’est vraiment le Paradis. La région Parisienne ne me manque pas du tout, du tout ! Ce sont plutôt les copines qui me manquent, tu en es une qui me manque le plus ma Bettys,  ça me ferait bien plaisir de toutes vous voir, mais c’est pas encore pour maintenant. Encore patience, patience…

 

Alors voilà, je vais te donner un petit aperçu de mon emploi du temps et de ma petite vie trépidante et cependant bien douce.

 

Matin, levée à 7 heures (j’ai gagné 40 minutes de sommeil !) je réveille ma fille qui prends son car à 7h45, je me prépare tranquilou, je réveille le mari et si j’ai des clients, à 8h je me prends ma titine et hue !! C’est parti. Alors le trajet, c’est que du bonheur (attention, là je vais vous mettre la rage car c’est pas le métro ou le RER !)

 

Je traverse les villages qui se réveillent, je croise les gens qui ramassent les cèpes (et oui, c’est la période), les petites poules faisanes qui se dandinent au milieu de la route et qui se sauvent à mon arrivée, les écureuil tout roux qui traversent la route et se mettent sur le talus pour vous regarder passer, puis qui se sauvent en un instant. La douceur de vivre quoi…

Le paysage est fa-bu-leux, en plus, c’est le début de l’automne, les couleurs brunes, pourpres et vertes se mélangent, le matin, la brûme nichée au creux des vallons se lèvent et les vallons à perte de vue me donnent l’impression d’être face à une carte postale.

Je traverse les cours d’eau, les sous bois, les ponts de chemin de fer, les petits virages et me voici arrivée. Comme je travaille essentiellement pour des gens actifs, ils ont des maisons magnifiques. Ce matin, avant de commencer chez ma première cliente, je me suis mise face au paysage qu’elle a derrière sa maison, et là, c’était le coup de grace, l’instant magique. Le village en pierre qui s’élève à ma gauche, et la campagne vallonnée à perte de vue à ma droite. Le bruit des oiseaux, du coq et de l’eau qui coule quelque part. Une pure merveille !

 

Le midi, je rentre à la maison (pour l’instant je peux encore alors j’en profite) et l’après midi, soit je vais faire des devis, faire d’autres clients, ou je m’occupe de l’administratif. Si j’ai rien, je vais faire des courses, je décore la maison, je m’occupe.

Dans mon jardin, il y a un hérisson qui a élu domicile, nous le voyons tous les soirs… et il y a aussi des tas d’oiseaux car nous sommes dans une sorte de parc : deux pies, des tourterelles, des oiseaux que je ne connais pas et un qui est très beau, j’ai trouvé sur internet, c’est une « huppe faciée » trop beau ! la moitié supérieure du corps est marron et le reste est zébrée noir et blanc, avec une crête sur la tête et un long bec fin.

Le week-end, nous faisons les brocantes et les marchés. Ici, il y a toujours quelque chose à faire, (c’est pas les boites de nuit ou les pubs c’est sûr, mais c’est très bien quand même !) les fêtes de village genre fête de la framboise, de la châtaigne, les marchés festifs… (l’hiver risque cependant d’être moins animé )à Pompadour, tous les dimanches il y a eu des animations à l’hippodrome jusqu’à la fin du mois de septembre. Courses de chevaux, d’ânes ou de lévriers, et autres concours (de chapeaux par exemple, c’est rigolo) Il y a tout le temps des chevaux qui traversent la ville car ici, il y a le haras national, une jumenterie, et autres fermes équestres. Nous avons inscrit Mélissa qui va tous les mercredis faire de l’équitation. Elle adore ! Elle s’est très bien intégrée. Ici, les gens sont très cordiaux et quand quelqu’un vous adresse la parole dans la rue, on se demande pas si on va se faire agresser.

 

Voili voilou . Allez, maintenant il faut reprendre le travail…

Je t'embrasse bien fort et j’attends de tes nouvelles avec impatience.

 

TT.

 

 

 

 

j'ais eu bien du plaisir à te lire tu me manques mon amie



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Par lettre ouverte - Publié dans : lettre - Communauté : partageons nos écris
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Lundi 1 octobre 1 01 /10 /Oct 20:01

Ca a commencé hier soir toujours toutes les quatre pas à refaire le monde non aucune attention de notre part, tout est partie après quelques verres, sur la religion qui a fini par la politique en passant par le féminisme, et j’en passe

On va dire que je vais commencer par le début plus facile à comprendre les femmes

 

J’avais bien décidée de passer mon samedi soir seule, la le portébole qui sonne flute je réponds ou pas, d’abord voyons qui sais,

Sophie

Ha ben tu réponds quand même tes pas morte ! ! !

Moi

Heu non mais excuse, j’étais peut être sous la douche

Sophie

Tu prends toujours tes douches a n’importe quelle heure toi

Moi

Ne m’appel pas toi stp tu sais que je n’aime pas ça (suis pas une chose)

Sophie

Oui mais en attendant tu réponds jamais au premier appel

Moi

Hé alors c’est que je suis occupée

Sophie

Ouai enfin tu passe ce soir ont prend l’apéro vers 19 heures

Moi

Oui si tu veux, est ce que tu veux que  j’apporte quelque chose ?

Sophie

Non ramène toi et ça ira

Moi

Ok des que j’ai fini je passe

Sophie

Tu fais pas que passer comme dab hein

Moi

Non t’inquiet pas, tes dis j’arrive, juste le temps de prendre mon temps

Sophie

Comment fais tu toi ta toujours le temps de tout

Moi

A toi de le prendre avant qu’il te prenne

Nous

« rireeeee »

Sophie

Tu sais que tes unique toi vraiment y’en a pas deux comme toi

Moi

Je sais d’ailleurs ma sœur m’a envoyée une carte ou il est écris y’en a pas deux comme toi

Sophie

Et alors

Moi

Ben alors rien

Sophie

Bon ok tu t’amène d’accord

Moi

Ben  laisse moi juste le temps

Sophie

Ok alors prends le ton temps puisque tu le veux comme ça

Moi

Te fache pas, avec toi faut d’un claquement que je sois la

Sophie

Non c’est pas ça mais sinon tu ne viens pas te connais

Moi

Oui tes dis oui alors tu vois on parle pour rien dire et pendant ce temps ben  je fais rien

Sophie

Bon arrête ta philo à deux balles et ramène toi

Moi

Ok

Punaise et pas envie mais c’est asse  souvent quand ont a pas envie que ont peu passer une bonne soirée, suis obligée de m’habillée, ho aller non c’est bon ca va aller

Je sonne, j’entends des rires, des bla bla , des gosses qui crient, ça parle fort……….

J’étais bien chez moi au calme seule avec moi-même, enfin j’y suis, allez Bettys vas y

Moi

Salut les filles tour de table bisous, banalités,

Sophie

Bettys tu peux voir mon pc j’ai chopée un virus a la noix

Moi

De coco, tu sais que j’aime pas la noix de coco

Sophie

Oui mais arrête de toujours prendre tout en dérision, c’est du sérieux mon pc

Moi

Ok ok te regarde ça

Sophie

Tu prends quoi

Moi

A boire

Sophie

Non à manger

Moi

Ben pas envie de manger

Sophie

Mais non tu bois quoi

Moi

Ta quoi

Sophie

Tout

Moi

Ben  tout c’est quoi tout

Sophie

Arrête de faire ta chiante et dis ce que tu veux

Moi

Bof comme toi ce truc rose la me convient

Sophie

D’accord mais mange avant te connais tu ne supporte pas ça

Moi

Ben normal ta vue les doses que tu mets

Sophie

C’est ma dose tu connais, alors comme moi

Moi

Ok si tu veux mais un seul alors sinon après tiens pas le coup

Sophie

Ta mangée toi a midi

Moi

Ben oui tu sais bien que je ne peux pas rester sans manger

Sophie

Moi pas, comment fais tu

Moi

Comment je fais quoi

Sophie

Ben pour manger et pas grossir

Moi

Pfffffff ont va pas encore avoir cette discussion la quand même

Sophie

Tu te rends pas compte tu mange comme quatre et rien moi je regarde un gâteau je prends deux kilos

Moi

Arrête avec ça

Sur ce voila les deux autres qui ce mettent à déblatérer des conneries sur les femmes et leur poids, comment faire un régime tout en mangeant, pourquoi fait ont des plats antis caloriques, et ceux-ci toujours en sucré, et pourquoi pas en salé etc.…..

Ça ma saoulée

J’arrête direct la discussion, suis pas venue pour ça, mais juste prendre l’apéro avec vous sans plus

 

Viviane

Bien sur tes pas concerné alors ça ne t’intéresse pas ce qu’ont dit

Moi

Si mais vous tournées tout le temps autour de ça, y’a quand même d’autre sujet de conversation, par exemple…..

Sophie

Ha ben oui ta raison par exemple les mecs

Notre sujet favori je l’avoue, faute avouée est-elle pardonnée, quoi que y’a rien à pardonner

Moi

Ok allons-y pour les mecs

Bea

Qui commence ?

Sophie

Ben qui en a eu un en dernier ?

Viviane

Toi dit elle a Sophie

Sophie

Non moi calme plat et toi

Bea

Rien le néant

Sophie

Et toi me dit elle

Moi

Moi non rien à dire sur eux pour le moment je vous laisse y arrivées comme dab

Bea

Bettys tes chiante la allez raconte ce que tu as eu de récent, tes toujours la dernière toi

 

Moi

Moi ben rien vous laisse y venir et on verra comment ca va dévier

 

Bea

Alors je commence

Et la Messieurs, vous êtes passés de bien a voir très bien, voir moche, mal dans votre peau, des machos, des paillassons, et j’en passe et des meilleurs

Je les écoute le sourire aux lèvres, quand tout à coup Sophie, me tire de ma rêverie

Sophie

Comme dab Bettys ne dit rien, pas d’avis ?

Moi

Si mes propres opinions, et vous les connaisses, vais pas rabâcher ce que je pense ou ne pense pas

Bea

Ben ont peu échangé les idées et par le faite changer d’opinion

Moi

Pas d’opinion

Sophie

Alors dis ce que tu n’aimes pas même si je sais ce que c’est

Moi

Pfffff tu crois ca

Sophie

Ben oui le sais et comme tu sais ce que j’aime

Moi

Toi tu aime tout et tout le monde

Sophie

Ce soir ont s’engueule pas ok

Moi

Ben moi jamais c’est toi qui ne me comprend pas toujours

Sophie

Lache toi Bettys

Moi

Et si je suis bien comme ça libre a moi non

Viviane

Oui bettys à chaque fois tu nous fais le coup, moi rien à dire

Moi

Ben c’est que j’ai rien à dire, sinon vous le dirais, enfin ce que je veux dire et garde ce que je ne veux pas vous dire

Dans un cœur, Sophie, Vivian, Bea

Tu nous fais chier car faut toujours te tirer les vers du nez

Moi

Attendez mais j’ai pas de vers dans le nez, voir un verre à la main c’est tout

Elles rient

Sophie

Tu as toujours le don de tourner en dérision tout ce que l’ont te dis

Moi

Bon d’accord, vous voulez un mec mais qui soit comme si comme ça suivant votre gout suivant votre façon du moment de voir les choses, et après vous venez pleurer, en disant il m’a baiser et ma jetée

Sophie

Toi tu baises pas asse souvent

Moi

Et alors c’est mon cul j’en fais ce que je veux, moi je ne te dis pas tu baise avec le premier venu, voir même quand il n’est pas la tu ne supportes pas de ne rien avoir c’est trop important pour toi, beau, moche, tout est bon du moment qu’il a ce qu’il faut ou il faut

Bea

Arrêter sinon vous allez gâcher notre soirée

Moi

Non pas du tout ont discute

Sophie

Oui ont échange des idées les idées coincées de Bettys

Viviane

Laisse la Sophie, tu sais qu’elle aime pas

Sophie

Quoi le sexe bien sur qu’elle aime

Moi

Je n’ai jamais dis que je n’aimais pas ça, juste que quand c’est perso je respect c’est tout simple

Bea

Le problème est que c’est toujours discret chez toi, nous ont te raconte tout, toi faut toujours t’arracher les mots

Moi

Ben oui et vous me faites rire et j’aime bien

Viviane

Enfin de compte, tu prends sans rien donner en échange

Moi

Si des fois quand j’en ai rien à foutre je vous le dis, je vais même plus loin quand je vous dis si tu le veux te le laisse, hein Sophie tu sais de quoi je parle

Sophie

Tes pas obligé de le dire

Moi

Ben ont ce dis tout enfin c’est ce que vous disiez y’a un instant, si ça dérange faut pas dire

Sophie

Y’a des choses qu’ont ce dit toutes les deux et pas partagé avec Viviane ou Bea

Moi

Ben c’est dommage car y’a de quoi dire

« Faut dire que Sophie et moi ont est tout le temps ensemble, tout comme Bea et Viviane »

Viviane & Bea ensemble rient à pleine gorge

Moi

Ben qu’est ce que j’ai dis qui vous fait rire comme ça

Bea

Vous avez toujours eu vos secrets entre toi et <<<<<<<Sophie et ont le sais bien mais ont vous les laisse

Moi

Vous voulez savoir quoi, je n’ai jamais rien caché je n’ai jamais rien dis

Viviane

Tu aurais du faire de la politique avec ta langue de bois

Moi

Bois bandé oui bois forêt

La elles s’éclatent toutes de rire,  c’est rires que j’aime bien, faut pas croire mais tout ce dire entre fille sans tabous que ce soit ce critiquer, ce dire ses propres vérités et les accepter, peu de filles le font, car après nous n’avons aucune rancune entre nous et nos discussions ce termine par des embrassades « style t’aime bien, tes comme ma sœur, des vrais amies c’est ça,  etc.…. » 

Nos verres sont vide depuis un bon moment, je pense même qu’il a du ce remplir à mon insu, mais faisons style de ne rien voir

Sophie

Ben du coup les gosses ont pas mangés

Viviane

Si t’inquiet pas ils ce sont servit seul les un après les autres

Sophie

Ha c’est chouette ça

Bea

Oui des gosses qui mangent seul le pied

Moi

Du moment où leurs pieds ne sont plus la, ben c’est qu’ils non plus faim

Bea

Bettys arrête ta philo tu nous saoul ont comprends pas toujours ton humour

Viviane

Parle pour toi suis ok avec toi bettys tes comprise

Moi

Merci Viviane un instant j’ai cru être une incomprise rireeeeeeeee

Sophie revient parmi nous elle était parie coucher sa progénitures, ce qui ne fut pas une mince affaire, les enfants adorent écouter ce que les grands disent, quitte à ne rien comprendre vue quand leur présence les mots sont différent comme une sorte de code ou nous entendons a bien parler sans qu’une  petite oreille indiscrète capte le moindre sens a nos dire

Ce style de codage a été asse long a être mis en place a chaque fois l’une d’entre nous ce pommait, moi la première mais pour le coup nous sommes bien réglées  et nos erreurs deviennent asse rare

 

Comment ont à déviées sur la politique, aucune de nous ne pourrait le dire, mais peut importe ce passage qui fut houleux, qui à fini par une phrase de Sophie, nous ont est pas comme les mecs ont discute mais ont ne ce disputent pas, nous sommes parties  d’un éclat de rire, tous nos dire sont tombés à l’eau,  oubliant tous nos idéaux, nos convictions, qui faut ce l’avouer ce rejoignaient asse

Nous somme passées à des sujets bien mieux pour nos chères têtes blondes et brunes, que nous sommes

Cela est passé par justement nos couleurs de cheveux, nos plaisirs, nos  désirs, nos envies,  tout compte fait cette soirée a été très agréable comme inattendu, elle c’est terminée asse tard, je suis rentrée dans mon appart me suis mise sous ma couette, j’ai pensée une minute à ma vie, mes yeux ce sont fermés

Bettys

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par discution de femmes - Publié dans : discution de femmes - Communauté : partageons nos écris
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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 15:35

La propreté de ce qu’on appel l’âme

 

Plus de douleurs

Je craint ce froid si froid je craint les rues,  les gens,  je ne prie pas je ne sais pas , je craint la pluie, je craint les miroirs de me voir je sursaute a ma vue, je craint les mots je me méfie si souvent de moi je me craint, les éclaires et les chats noir me glacent, est ce que je n’ai peur que de moi, je craint la nuit, je craint le silence appel moi ne me laisse pas dans mes peurs, la solitude peut attendre, je craint tes pas, la vie me glace d’émois, je craint les promesses et les serments, je me méfis si souvent,  je me méfis de moi 
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Que c’est étrange quand tout a coup on ce vois soi tel que on est comment ne pas ce haïr comment ne pas ce juger tel que , même avec tous mes sourires mon visage reste caché, le voile ne serait-il pas cette solution ne pas voir ne pas être vue, avec c’est regards qui vous  déshabille sans votre permission est ce la l’insolence,    doit on donné sans rien recevoir, prendre les habits des autres juste le temps d’une innocence, mais est ce que ça nous changerais fait on des choix par la crainte d’être la, notre rêve n’est il pas d’être l’autre, non on ne change pas on est soi en cachant juste un instant un peu de soi

Les choses et les idées avant de partir, juste une autre vie, sauvée de l’oublis, longue est cette attente lourde est la peine en mon cœur mais si grand ma foi en l’être humain, est il si difficile de me comprendre, que sera demain mon destin ira t-il plus loin, plus de plainte plus de peine au creux de mes reins , longue est l’attente, lourde la peine dans nos cœur, je cherche encore plus dure sera cette peine l’attente est la, si je me perd qui viendra a moi

 

J’attendais, ton regard pour expliquer enfin le pourquoi de ce long chemin, le toucher de tes mains sur mon corps, j’abordais les tromperies dans tous les sens , de raccords des vies de voyages de rêves que tu ma tant donné, pourquoi ce dire au revoir, je n’attendrais plus en espérant te voir , je n’attendrais plus ton amour ton bel amour, a mon tour je partirais avec ma blessure dans un acier qui me coupe a en souffrir, je part sans retour vers toi, restera mes heures de soirées mondaine ou tu ma convié, à boire ce champagne non désiré, tu ne m’emmèneras plus sur ton bateau pour voir les étoiles a qui tu donnais des noms , l’étoile a qui tu as donné mon nom quelle ironie, tous c’est plaisirs ne sont que de vain mots, sans regret je tes laissée, sans un mot, j’étais trop effondrée pour ça, ma page est tournée

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En attendant ses pas je mets la musique histoire de dire que je ne l’attendais pas, j’attendais ses bras, en prenant soin de moi, pour qu’il me voit, qu’il ne me surprenne pas comme ça, quand j’entendrais sa voix je serais que pour une fois tous ses mots seront pour moi, je lui rendrais cette attente de mes rêves, a cet instant la il ne sera la que pour moi, un matin rude dans un  hiver sans fin  je ne sais pas ce qui c’est passé il n’était plus la, partie ou je ne sais quoi, depuis je le cherche a me geler dans ce monde qui n’est plus le mien, la vie m’importe au yeux de tous ses mystères tel est mon destin passer les heures sans le battement de cœur, je vivrai ailleurs dans  le vent qui va chanter,  couler l’eau des rivières je sais m’éteindre, ou rien ne ce passe mais ou rien ne s’oublis

 

 

 

Vole dans le vent ma douce ma colombe ici que rien ne me retienne, laissons nous, laisse ton manteau de misère, ne prends pas ma douleur, laisse ce corps, qui va rejoindre une autre rive, celle comme tu me voulais tant, vole tu la bien méritée, laisse tes ailes dans le ciel s’épanouir a en mourir sans un bruit  seule, petite flamme, ton corps de misère va retrouver cette lumière que toi seul connais, je sais que tu a été la pour moi, tu ma laissée ce choix de vivre ou mourir, tu ma surprise, je voulais partie ou je ne sais pas peut importe ou la route me mènera,  je me rappellerais que cette nuit  la tu as été la, rien que pour moi, crois moi je vivrais pour toi, mais un jour ou un soir ont partira ou je ne le sais pas, peut être ce soir, va savoir, mais je sais maintenant que tu respectera mon choix

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Ne lui dis pas l’hiver arrive à grand pas et si tout étais à refaire chut mieux vaut ce taire

Bettys

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par bettys - Publié dans : histoire - Communauté : bettys
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Samedi 22 septembre 6 22 /09 /Sep 14:29

Sans foi n’y lois

Raisonnable ou est la raison dans la dérision, Je connais la violence je n’ai pas peur, J’aime narguer les lois ça  je sais faire, Les foudres divine ne m’effraie pas

Suis pas une victime mais je tombe, ne suis-je pas colombe

 

Silencieuse

 

Je connais les silences depuis longtemps lutte après lutte chaque blessures  j’ai cru tenir je voudrais appendre jour après  jour, mais qui commande nos amours, y’a plus de temps par ici, sentir le froid je connais, Sombre douleurs

 

La rue

Dans une rue les gens passent, les gens comme ont les vois  juste un flue une masse leurs visages sans vont, de leurs regard qui un instant vous pétrifie, une rue comme d’autres et le temps ce suspend et soudain je  comprends impudence, insolite, indécente, je saurais leurs  sourire

 

Idée

 

Quel étrange aujourd’hui Quelque chose mais quoi désobéi en moi, indécence  inouï  insolite, je saurais sourire être celle la contre les vacarmes des océans tout ce qui peu sembler évident  ne saura que sourire je continuerais à distribuer mes sourires insolemment sourire pour moi sourire d’être la , mais désolée pour celles qui sont là-bas ce qui fait sourire avec des larmes plein les yeux

 

Petite mort

 

Je cherche encore ou brule ma flamme ou est la lumière je cherche encore plus fort, je veux rester dans le couloir ce cette douce mort la ou la porte s’entrouvre

 

 

Rire

 

Sourire aux trottoirs aux voitures aux passant mon visage nu sur le vent mes jambes  qui dansent en marchant tout ce qui me semble évident sur un sourire, et j’avance chaque instant tout sera sourire

Des phrases sur les murs des regards bizarre mais j’en est rien a faire je distribue mes sourires et en reçois autant


Amour

 

Un seul amant sera sourire pour moi, une tache une porte et soudain je comprends , on oublis jamais les instant de notre enfance des fais si marquants on crois que ont fais des choix mais sous ses crainte la ont sent l’enfant en soi on a toujours un geste qui nous parle c’est tellement ca j’ai copier des images et des rêves que j’avais  je marche dans mes rêves dans la neige je ne sent pas ce froid une petite fille une  toute petite fille sommeil en moi

 

Les mots


Alors j’ai compris tous ses mots tout leurs sens comme les choses ont changé le temps zappe les amours aussi, faut savoir garder l’amour je n’ai pas pu ça je ne sais pas, fallait pas commencer faut pas m’attirer je ne sais pas jouer je ne suis pas les autres

 

Les murs


Avec tous c’est murs qui me retiennent je choisi l’envers a la peine ailleurs ou d’autre arc-en-ciel si je me perds personne ne sera la et ca je sais faire, dans le couloir de la mort derrière les barreaux de ma mémoire je dirais sans un cri merci, je chercherais la lumière mais pas dans la foi

 

Retour au noir

 

Je sens comme une envie de revenir au noir, à l’époque ont ma dit arrête d’être tout le temps en noir ont ma même fais aller voir un psychiatre, quoi que un psy est mieux qu’un psychologue car le psy est remboursé par la sécu alors que l’autre non mais pour le même résultat c'est-à-dire rien néant,  je les fais j’ai été les voir sans grande conviction je l’avoue, je n’attendais rien d’eux, juste peut être de la curiosité question de mode aussi, maintenant tu t’habille en noir alors les gens disent que tu es mal dans ta peau ton corps, ils savent quoi de tout ça, les gotiques ne sont pas tous suicidaires même si la plupart le sont je ne généralise jamais, c’est un choix le noir à le don de vous faire passer inaperçu dans la foule   on ne vous vois pas puis que vous êtes confondu dans une masse, ça à du bon oui des bons cotés, nous sommes dans un monde de gens individualistes alors mélangeons nous dans ce monde afin de ne pas être remarquée, pas vue pas prise, j’ai regardée dans mon armoire, ouf je n’ai rien jetée de cette époque tout est la, je ne vais pas « et oui encore une fois les gens leurs regards » donc je ne vais pas le faire tout d’un coup afin de ne pas éveiller de soupçons et reprendre peu à peu cette garde robe que j’aime bien, fut un temps ou tout dans cette armoire, commode enfin ou je range tout c’est petites choses étaient noir, je les remets avec un délice que vous ne pourrez imagine, car je me retrouve moi, ouf enfin Bettys revient…..

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La magie du corps

 

Le corps à du mal ç ce détruire, c’est asse  long pour certain et pour d’autres ca va très vite, la destruction est un art, ne ce détruit pas qui veut, pour ce détruire ils y a plusieurs façon et il y a façon et façon, il y a les drogues, l’alcool, la cigarette, ne pas manger, les cachets «  essayer les effets sont terribles le bien être n’a plus de limite ainsi que les délires », laisser son sang couler doucement «  ça aussi la sensation est chaude et très agréablement douce », on va dire mais ce détruire est égal à une mort, non la n’est pas le but sinon c’est juste un question de facilité, la n’est pas le but recherché, sinon autant prendre un pistolet ou autre arme et ce tirer une balle dans la tête, ou ce pendre à une corde, non la destruction est quelque chose de recherchée, de voluptueux je les écris façon et façon vais pas non plus me répétée,  donc ce corps n’est pas si simple qu’il y parait car il ce défend contre toutes attaques, oui garantie ça, on a beau y mettre toute les bonnes volontés rien n’y fait il est la et ce défend contre toutes c’est attaques, alors comment faire, je n’ai pas encore trouvée, juste que la fin approche à grand pas, comment vais-je la vivre, je l’attends de pieds ferme, faut pas rêver car après il y a le néant, les conneries de religion vous dirons bien sure le contraire, mais y’a pas de tunnel pas de lumière si ce n’est que l’imagination de nos prophètes qui nous en ont mis plein la tête sur certaines personnes ça fonctionne ils ce raccrochent à ce qu’ils peuvent, je les pleins et les envies toute à la fois, les pleins car après il ne verront rien de tout ce qu’ils pensent, les envies de leurs cupidités, si ils sont bien ainsi je ne me permettrais pas de les contredire  sans aucune façon,   à chacun sa propre foi, d’où le bouddhisme me plait pas de religion état d’esprit de vie de respect des autres, aucune interdiction sur le on dit que …… non libre de faire ce que la tête dit, chaque méditation est une ouverture sur son propre soi, un peu indivualiste  non car on ne pense pas ca  on ne veut  pas  y mettre qui que ce soi, un jour un moine bouddhiste ma dit, si la paix est en toi tu la transmettra  aux autres sans leurs donner cette impression de les commander à venir rejoindre nos idéologies , sur le moment ca a été du charabia pour moi, après je revois toujours les choses après ce que l’on me dit s’emmagasine dans une partie de mon cerveau et après je peux l’analyser  je fonctionne comme ça on dis et seulement après mon cerveau réagit, j’en est asse dis pour ce jour et ça commence un peu à me gonfler d’écrire, des fois ca me gonfle vite et des fois non alors j’y reviendrais un jour peut être, voir peut être même tout à l’heure, injustice de mon cerveau qui fait ce qu’il veut quand il veut , je ne l’empêche pas non plus , il est comme moi libre de toutes ses propres pensés

 

  Bettys

 

 

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Par trouble de la nuit - Publié dans : ombre de la nuit - Communauté : bettys
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Mercredi 12 septembre 3 12 /09 /Sep 21:27

 

 

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Ecriture sur le non dit

 

Je ne vais pas commencer par il était une fois, car c’était bien une première fois et non une fois

Histoire vrai ou fausse à lire entre les lignes, et  laisser guider vos yeux avec délice, tout comme je les fais

 

Nous étions quatre,  nous avions décidées d’aller manger et faire un peu la fête histoire de ce détendre, je n’avais pas très envie de sortir, prémonition sixième sens, ca je ne le saurais jamais

Nous voila partie toutes les quatre, sur de passer une bonne soirée, le restaurant fut animé de rire de blagues,  de prise de photos, tout cela dans une ambiance bonne enfant qui veulent s’amuser , je restais malgré tout un peu effacée comme à mon habitude, pas que je sois la dernière à  rire mais quand je n’ai pas envie je reste toujours en retrait, même quand je veux y aller je m’efface très vite afin de laisser aux autres toute les chances qu’elles peuvent avoir, pas que je ce soit à dire que je suis la mieux de nous toutes, mais c’est ainsi et je ne comprends pas toujours pourquoi ,  je suis malgré tout réservée devant tant de brillance tant d’assurance de mes amies,  leurs rire me font sourire même si parfois ma tête tourne un peu, car on pourrai y voir un poulailler ou ça cacotte de toute part

Le restaurant terminé vers minuit, nous décidons d’aller danser, cela à l’humanité de toutes moi y comprise, danser est une sorte de vie la ou je peux exprimer mon corps en me moquant des regards, les hommes peuvent regarder sans jamais toucher, quoi que parfois ils ce font un malin plaisir de vous frôler, je ne regarde personne  je ne vois rien, je suis dans ma bulle et laisse mon corps ressentir cette musique qui m’envahit   peu à peu, parfois il m’arrive un moment de sortir de cette bulle, je relève la tête, les regard sont sur moi, une ronde d’hommes autour de moi me regarde, leurs yeux sont tous fixer sur ce corps qui ce bouge au rythme de la musique , mais peu m’importe je peux retourner très facilement dans cette bulle et ressentir toute la vibration de cette musique qui semble être la que pour moi, elle sonne dans ma tête, fait battre mon cœur plus vite, mes muscles sont à l’écoute et suivent tous les mouvements que je fais, nous ne faisons plus qu’un, je viens de m’égarer un peu sur cette musique, je revis un peu chacune de c’est heures de plaisirs

 

Nous sommes à rire à boire, à danser, a papotées, cela dure depuis peu j’en ai l’impression, j’ai regardée mon bras pas de montre j’ai omise de la mettre, quand une voix me dire une heure trente du mat, instinctivement j’ai regardée mon  bras, cette voix d’homme je ne la connais pas, je relève mes cheveux, ma mèche me cache un peu  de ce visage qui me sourit, d’un geste de la main je la relève, je la sent humide, mon corps entier ruisselle, mes vêtements collent à ma peau, ses dents scintillent dans les lumière tellement  elles sont d’une blancheur, mes yeux sont fixés sur ça, j’essaie de me reprendre mais il à vu mon désarroi, je me sent gauche tout à coup, moi qui l’instant d’avant avais une confiance en moi, j’ai cette impression souvent perçu qu’il me déshabille des yeux , je ne peux dire leurs  couleurs, il ce tiens la devant moi, je ne sais quelle attitude adopter , une amie vient à mon secours, elle est douée moi pas, elle entame la conversation avec lui, je connais bien ce regard quand un homme lui plait, du coup je m’installe un peu à l’écart, afin de lui laisser cet homme qui un seul instant ma troublée, je bois un peu car ma gorge est sèche, j’essuies mon visage, je relève la tête oui souvent baissé je le sais on me le dis très souvent, un peu pour me cacher de tout ça, quand je sent son regard sur moi, il parle avec mon amie, en me lançant des regards qui je le sent ne sont pas inoffensifs, j’essaie de plus en plus de m’effacée, je ne veux pas que mon amie pense que j’ai des vus sur lui et lui laisse volontiers la place, je me lève et retourne sur cette piste qui semblait me dire viens la tu seras bien, la musique est forte mais je l’aime et repars dans ce tourbillon, tout à coup une main me tire contre un corps grand musclé, je n’ose pas relever ma tête car cette fois je suis sure que c’est lui, je le regarde, il me fixe avec des yeux qui brillent, il me colle à son corps, me dit, viens danser avec moi bettys, comment c’est-il mon prénom je le saurais plus tard car la son ton est si déterminant que  je n’ose rien dire, je lui obéis,   la est peut être ma faute, nous dansons son corps colle au mien, nos jambes s’emmêlent ce croisent ce décroisent, mes pieds ne touchent pratiquement plus le sol, je me sent enivrée, sa main est sur la cambrure de mes reins, je sent la pression qu’il a de me tenir tout contre lui, il est comme moi en éprouve un grand plaisir, je le vois quand nos yeux ce croisent, ils sont de plus en plus brillants sans aucun doute les miens le sont tout autant , la musique s’arrête, ont reste la collé l’un à l’autre, je sent les regards sur nous, je le repousse doucement il attrape ma main la m’est à sa bouche, ses lèvres sont douce et chaude, elles glissent sur ma main il me tiens toujours au creux de ma cambrure, la musique repart de plus belle, je veux le fuir sinon je ne sais pas si ma résistance va tenir bien longtemps, il m’attire violement tout contre son corps sous le coup je me cambre ma tête vacille sa brutalité est si forte que lutter est vain pour moi, je me plis à son désirs comme s’il voulait me prendre la sur la piste, me faire l’amour devant tous c’est gens, soudain je me lache, il le ressent et son étreinte devient plus présente plus forte,  je faiblis comme une onde qui viens caresser mon corps, il pose ses lèvres sur les miennes aucune résistance de ma part, sa bouche est chaude, sa salive coule dans ma bouche, nous ne sommes plus la, nous entrons dans un autre monde, ce monde ou la magie de deux corps inconnu l’un à l’autre, il me tiens très serré tout contre lui, m’embrasse avec un envoutement sans égal, ses baisers non rien de doux, je sent que son corps devient plus dure, il est sur de lui sur que je vais être a lui, il n’a plus aucun doute…………………

Nous revenons à notre table, la j’ai droit à un regard mitrailleur de mon amie, elle va vers lui, mes ses gros seins sous son nez , je ne regarde pas veux rien voir, elle l’aguiche avec ses propres atout a elle, ses éclats de rire, elle ce dandine devant lui, je vois par moment ses rondeurs rebondir, comme de gros ballon gonflable, je jette un œil sur les miens et me dis, devant ca aucune chance bettys, mais pas grave cela me gêne pas, non vraiment pas elle le veut je lui laisse, elle vient vers moi et me dis qu’est ce qu’il est beau, je la connais bien et je sais que pour elle tous les hommes sont beaux, normal c’est une femme à hommes, mais pour le coup c’est vrai qu’il est beau, grand bien musclé, un beau visage, tout pour plaire rien qu’à voir le regard des autres filles dans la salle je sent que oui c’est vraiment un bel homme, je pense m’effacée car je n’aime pas faire de la compétition surtout avec une amie, même si celle-ci ne ce gêne pas pour essayée de prendre tout homme qui s’approche de moi, donc encore une fois je me met à l’écart, bois un peu de ce cocktail asse doux   ma tête ne tourne plus, mon cœur c’est calmé, je me sent bien mais n’ose pas bougée, le manège continu entre mon amie et lui qui semble apprécié c’est rondeurs, j’ai un haut de cœur comment un homme peut apprécier des rondeurs pareil, si j’étais homme je ne pourrais faire quoi que ce soit avec cette femme très sympathique d’ailleurs  mais le gras qui rebondit de son ventre ses bourlets qui dépassent de ce pantalon qui la serre à un point que je me pose la question mais comment peut elle respirée, moi qui n’aime pas être serrée je ne pourrais décidément jamais supportée tout ce poids, quitte à ne pas avoir de ballons gonflables je me préfère sans aucun soucis, lui est heureux semble t-il il ce fais toucher de partout les mains les fesses , elle le caresse de ses main grassouillettes avec des bagues ou déborde la chair, je me dis si tel est son plaisir moi je n’y vois pas d’inconvénient  et lui laisse en me disant rien loupée,

Je me sens lasse avec comme une envie que tout cela me saoul plus que ne ça m’amuse, je décide donc de sortie un peu dehors l’air frais me fera le plus grand bien,

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Je fume tranquille ma cigarette je la savoure à l’intérieur trop de fumer la dehors l’air est frais me rafraichit je sent une paix intérieur comme je les aiment  mon corps frisonne un peu sur cette différence de température mais je ne l’écoute pas, parfois je devrais un peu l’écouter, mais ça ché pas faire, je suis au pas de la porte et regarde le ciel sans aucune étoile rien que le noir le néant mais je suis bien, voila que la porte s’ouvre ou plutôt s’entrouvre, je penche la tête pour voir qui tente de sortir par cette belle nuit sans étoile, parfois le patron vient discuter avec moi ont parle des choses de la vie de sa famille enfin de compte de tout et de petit rien, mais à ma grande surprise, voila cet homme qui vient vers moi, que fais tu dehors toute seule ? est ce une question ou un interrogatoire lui demande, on à comme l’impression que quelque part c’est comme un ordre, je répond en regardant autour de moi, je le pense oui, il n’a pas l’air de gouter à mon humour, cela m’agace, tout compte fais je suis bien refroidis , et sa vue sur moi me gène, rentre me dit il, je refuse, il ce fait plus doux me regarde dans les yeux      je suis prête a protestée soudain il me donne un baiser qui me réduit au silence, je vais lui donner le nom de tombeur, cette pensée que traverse l’esprit, il me dit tu viens ont part, je recule lui dit non, la j’ai comme l’impression à son regard que je les offensé comment une femme peut lui dire non, je les un peu déboussolé, tant mieux je me sent plus forte tout à coup, de brève durée, il me prend par la taille et murmure à mon oreille, tu n’es pas facile toi je vais te faire voir ce qu’un homme peut faire à une femme quand le désir monte fort en lui, je tente de protestée, mais il ne me laisse pas parler son ton monte, sans que je te touche, la je reste pantois et me dis il ce fou de moi la, si il croit que je vais le croire la ….

Je me suis retrouvée dans son appartement sans trop savoir comment n’y pourquoi, il me dit installe toi, je te prépare un cocktail à ma façon, de retour il me tend ce verre aux couleurs très belle rouge orangé blanche jaune, comment as-tu fais c’est surper beau comme couleurs, il répond pas je vais pour mettre ce verre multicolore a mes lèvres quand je suis prise d’un doute, n’a-t il pas mis autre chose que ce qu’il ma dit, je repose le verre, voyant ma méfiance il boit une grande gorgée de son verre et me le tend, je prend ce verre le porte a mes lèvres une nouvelle fois mais le doute reste et je repose ce verre, il voit que rien ne m’enlève ce doute que j’ai en moi, il n’insiste pas ce rapproche de moi, tout en léchant mes lèvres sa main court le long de mon buste, je sent sa respiration devenir de plus en plus saccadé la mienne devient au rythme de la sienne on a cette impression de déjà vue nous sommes au point quand nous dansions, sa main presse un peu plus ma peau il me caresse sans descendre, cette caresse est douce elle me met en confiance et je commence à me détendre, ses lèvres sont de plus en plus gourmande, sa main descend le long de mon corps, vat sur mes cuisses monte entre mes  jambes mais il ne me touche pas, n’y mon sexe n’y mes seins, pensant à un certain respect j’apprécie d’autant plus ses baisers, ils deviennent de plus en plus brulant nos lèvres semblent soudées, je rentre dans un tourbillon, il me dit je vais te bander tes yeux ai confiance en moi, il perçoit une certaine hésitation me prend doucement la main la caresse, ai confiance si tu ne veux pas je ne le fais pas, je vois dans ses yeux le contraire et un peu malgré moi j’obéis ne voyant plus rien je suis dans le noir complet, il me tire doucement à lui je sent sa respiration, il me guide je ne sais pas ou vat-il me mener, je lui pose la question est ce que je peux enlever cet chose quand je le voudrais, sa réponse fut très net mais pleine de douceur, je me cogne au mur, ma main tâte tout est si noir et ce bandeau me sert très fort mes yeux ma tête, nous sommes dans une autre pièce car je ne sent pas la même odeur, une douce chaleur ce trouve dans cette pièce au parfum de bougie, je lui dis dommage si il y a des bougies que je ne les vois pas, pour toute réponse il me pousse et je me retrouve sur que je pense être un lit, il attrape mes poignets, étant prise au dépourvu je tente un instant de lutter ce fut très brève car ses  lèvres devant ma désobéissance ce colla aux miennes, je sentais sa respiration tous mes sens sont en éveil car le noir est complet, je sent que mes poignets sont emprisonnés dans quelque chose de froid, je veux tirer dessus un bruit de chaine me fait sursautée, que ce passe t-il,  il ne répond pas je me rend compte que tout le temps ou mon esprit était pris mes chevilles sont elles aussi attachées avec quelque chose de plus doux ou je peux légèrement les bouger,   que veux tu ?  ma question reste sans réponse, j’attend telle que je suis quand ses mains caressent mon corps je sent qu’il dégrafe ma jupe, ouvre mon bustier, je pense que je vai finir nue sur ce lit, mais il s’arrête net, je sent qu’il doit soit reculer ou je ne sais pas j’essaie de sentir tout afin de comprendre ce qu’il fait, son pantalon tombe au sol il ne dit mot il se colle près de moi je sent la chaleur de son corps, ses mains font une danse sur mon corps ce qui me plait beaucoup je me laisse faire cette douceur étant très agréable, ses lèvres reviennent sur les miennes , je pense qu’il va venir encore plus près de moi tout contre moi, j’en éprouve une envie folle le faite de ne pas pouvoir bouger de ne rien voir seule mon imagination me fait un effet très agréable, je lui dis doucement c’est très agréable tout ça, sa réponse m’étonne, ne dis rien apprécie, je me tais en pensant il a raison il vaut mieux que j’apprécie , il continu toutes ses caresses sans toucher mes parties intime, mon corps commence à en vouloir plus il ce tord mes poignets me font mal mais la douceur de ses mains sont est la plus forte et j’en oublis mes poignets, je commence à avoir ce besoin de lui rendre ses caresses de le sentir tout contre moi, nos souffle sont devenu roque lourd la pièce me semble très chaude, cela doit venir des bougies au parfum si délicat, quand il arrête ses caresses j’en redemande, demande mieux que ça me dit il,  le ton est sévère, et la tout a basculé je ne sais pas comment mais je ne le senti plus, aucune caresse sur mon corps chaud sur lequel des gouttes coulent c’est très agréable, je ne dis rien de peur de le froissé, tu vas obéir a toutes mes demandes, je ne dis rien une pensée à cet instant est dans ma tête je ne citerais pas de qui est cette pensée par respect pour lui, je suppose que c’est de l’eau qui coule sur moi tout en étant incertaine que ce soit un liquide, je sent sur mon corps quelque chose de froid comme du fer qui ce promène sur ma peau ce froid me fait une sensation qui doit lui plaire au plus au point car j’entend sa respiration s’accélérer, je ne me trompe pas sur la pensée qui ma traversée l’esprit, mon corps est détendu et en redemande je ne suis plus maitre de moi il devient mon maitre et il le ressent car ses gestes ce font de plus en plus pressant, soudain une douleur me fait crier mon corps se pli sous la douleur je proteste essaie de me détachée  je remues comme je peux mais rien y fait la douleur recommence c’est la que je sent le cuir meurtrir mes chairs des larmes coulent et s’arrêtent la sur ce bandeau, il ne prend pas cas de ma douleur et continu, soudain je sent ses mains sur moi il me retourne de peur j’essaie de me défendre sachant que tout est inutile, je reste immobile et laisse faire ce qu’il veut de moi il claque sur mes fesses je ne connais pas ce genre de pratique je proteste la réponse ne ce fait pas attendre, soit docile ma soumise maintenant tu es rie qu’à moi je suis ton maitre tu dois tout me donner de toi me murmure t-il à l’oreille, je réfléchis très vite si je ne lui obéi pas je vais de nouveau avoir mal, aussi je me fais docile même caline, il apprécit me dit voila comme je t’aime, il ne sait pas que dans ma tête tout tourbillonne à savoir comment je peux faire pour retournée cette situation à ma façon sans l’offusquer, il apprécit cette docilité   son souffle est chaud il le caresse sur mon corps, sans dire un mot je lui fais comprendre,  que j’aime plus cette douceur aux douleurs infligées , de temps à autre il passe son sexe sur moi, je passerai sur tous les autres supplice que sa main ou ce froid me faisait, je lui murmure détache moi une seule main afin que je caresse ton corps, son excitation est- elle  que je sent sa main sur un de mes poignet il ce reprend et me dis pas encore je te veux plus soumise, je lui réponds doucement je serais ta soumise maitre, la ma main fut libérée aussi vite qu’elle fut attachée, je caresses sa peau mes ongles rentre soudain dans sa chair je le sent ce raidir, et je pense à chacun son tour, cependant à ma grande surprise il semble aimer ce mélange de douceur et de sauvagerie de ma part et sans rien lui demander ma deuxième main je trouve libérée, je profite de pofiner mes caresses  mes ongles rentrent ressortent il semble vraiment très apprécié dans un élan il ce retrouve sous moi, dans ma tête ca y va à tout vitesse, et si je devenais la maitresse et lui le soumis ………………….. 
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Il a été le charme du diable, j’ai été la force d’ un ange, d’un baiser il ma réduit au silence, j’aurais pu protestée, m’écartée, mais au tréfonds de mon être, je ne le souhaitais pas vraiment, cela reste pour moi une histoire comme une métaphore énigmatique en restant une simple image poétique qui a commencé à prendre un sens inattendu, une histoire incroyable qui pourrait bien être vrai et qui devrait bientôt inspirer, au sens inattendu et presque prophétique.

 Bettys

 

 

Par caresses - Publié dans : caresses de femme - Communauté : bettys
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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 21:20

A pargater

Quel jour, qu’elle nuit, quel moment, quel désir , quelle façon, qu’elle surprise, qu’elle envie, qu’elle vie, qu’elle voiture, quel regard, quel sourire, qu’elle nouvelle, quel temps, quel méchanceté, quel ailleurs,

 

Quel jour, seras- tu libre dans tout ce cahot

Qu’elle nuit me feras-tu l’amour sans amertume jusqu’à la lune

Quel moment choisiras-tu pour avoir cette innocence

Quel désir sans plaisir imagineras-tu afin de voire notre plaisir

Qu’elle façon auras-tu de me séduire à me faire fondre dans le délice

Qu’elle surprise me feras-tu manipulation extrême onction convulsion mutilation

Qu’elle envie de nos sens en éveilles alors comment feras-tu fais pas tout trot vite

Qu’elle vie me réserveras-tu sais-tu ta vie c’est ma vie aussi

Qu’elle voiture choisiras-tu pour me faire un petit tour dans une nuit nocturne

Quel regard furtif me jetteras-tu pour me déshabiller  doucement  découvrir mon corps

Quel sourire me feras-tu espièglerie sans soucis aux éclats de rire

Qu’elle nouvelle me donneras-tu pour une histoire éternelle

Quel temps prendras-tu suspendre  le temps  l’hiver,  l’automne

Qu’elle méchanceté me feras-tu je resterais stoïque mais plus pour longtemps

Quel ailleurs dans la raison, je suis sans soucis dans mon monde illusoire sans espoir

Pour plaire aux jaloux il  faut être ignoré, aimer vivre c’est rester libre l’un pour l’autre, des nuits trot courtes laisse un gout d’amertume, il faut réapprendre dans ce monde sans sens, quitte à faire vite pas de doute, la vie est un monologue avec des larmes d’aquarelle, nos deux corps étendus,  la qu’à l’aube ce mélangent,   c’est plus fort que tout mais plus fort que toi, même si je sent la l’effrois de nos doigts, je te dis j’ai besoin de tes bras, juste pour toi

  Nous sommes reliés à nous même, nos vies s’écoulent chaque jour sans fin

 

Bettys 

 

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Je ne sais pas dans quel etat j'ère... surement au sein d'un lieu où elle a souris à bien des points... et aujourd'hui à ces mots dans quel etat es tu ? 
Ton ami qui attend la suite pour bien des couleurs que t'imprime de visu. 
C'kissa

merci mon ami de lettre toi qui ma donné cet envie
Par partage - Publié dans : le plus beau est ce le partage
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Dimanche 2 septembre 7 02 /09 /Sep 20:45
LE TRAIN DE LA VIE

La vie est comme un voyage dans un train : on monte et on descend, il y a des accidents, à certains arrêts il y a des surprises et à d'autres il y a une profonde tristesse. Quand on naît et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes et nous croyons qu'elles resteront avec nous pendant toute le voyage : ce sont nos parents ! Malheureusement la vérité est toute autre.

Eux ils descendent dans une gare et ils nous laissent sans leur amour et leur affection, sans leur amitié et leur compagnie. En tous cas, il y a d'autres personnes qui montent dans le train et qui seront pour nous très importantes. Ce sont nos frères et nos soeurs, nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous aimons. Certaines considèrent le voyage comme un petite promenade. D'autres ne trouvent que de la tristesse pendant leur voyage.

Il y a d'autres personnes toujours présentes et toujours prêtes à aider ceux qui en ont besoin. Certains, quand ils descendent, laissent une nostalgie pour toujours…. D'autres montent et descendent tout de suite et nous avons tout juste le temps de les croiser… Nous sommes surpris que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon et que pendant ce temps nous laissent voyager seul.

Naturellement, personne ne peut nous empêcher de les chercher partout dans le train.

Parfois malheureusement nous ne pouvons pas nous asseoir à côté d'eux car la place est déjà prise. Ce n'est pas grave…le voyage est comme ça : plein de défis, de rêves, d'espoirs, d'adieux….mais sans retour. Essayons de faire le voyage de la meilleure façon possible.

Essayons de comprendre nos voisins de voyage et cherchons le meilleur en chacun d'entre eux. Rappelons-nous qu'à chaque moment du voyage un de nos compagnons peut vaciller et peut avoir besoin de notre compréhension. Nous aussi pouvons vaciller et il y aura toujours quelqu'un pour nous comprendre. Le grand mystère du voyage est que nous ne savons pas quand on descendra du train pour toujours. Nous ne savons pas non plus quand nos compagnons de voyage feront la même chose. Même pas celui qui est assis juste à côte de nous.

Moi je pense que je serai triste de quitter le train….j'en suis sûr! La séparation d’avec tous les amis que j'ai rencontrés dans le train sera douloureuse. Laisser mes proches seuls sera très triste. Mais je suis sûr qu'un jour ou l'autre j'arriverai à la gare centrale et je les reverrai tous arriver avec un bagage qu'ils n'avaient pas quand ils sont montés dans le train.

Par contre, je serai heureux d'avoir contribué à augmenter et enrichir leur bagage.

Nous tous mes amis, faisons tout le possible pour faire un bon voyage et essayons de laisser un bon souvenir de nous au moment où nous descendrons du train. A ceux qui font partie de mon train, je souhaite un

DOUX VOYAGE ! Et tu en fais partie toi inconnu

Bettys

Nb/ ne rêver pas ce n’est pas moi sur cette photo, oui oui 
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Par bettys - Publié dans : un train pas comme les autres
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Dimanche 2 septembre 7 02 /09 /Sep 01:40
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
  
 


 
 

 
bouddha


 

L’événement le plus terrifiant dans la vie est le moment de la mort, et elle vient à tous sans souci de la richesse, de la beauté, de l’intelligence ou de la renommée.
La mort est inévitable, mais la manière dont vous mourez, terrifié et confus, ou avec confiance et la maîtrise spirituelle, est dépendante de votre contrôle.
 

Phowa, ou « transfert de conscience au moment de la mort » est la méthode bouddhiste qui permet lorsque l’on est arrivé aux extrémités de la vie d’atteindre à l’illumination. Par une combinaison du souffle, de récitations de mantras et de techniques de visualisation qui est pratiquée au moment de la mort, la conscience est éjectée par l’ouverture de Brahmâ évitant ainsi la renaissance dans les six royaumes de l’existence cyclique. A partir de cette ouverture, la conscience peut-être transférée directement en Dewachen, terre pure du Bouddha Amitabha. Naropa dit «  il y a neuf portes qui sont celles du monde, mais seulement une porte qui est celle du Mahamudra (nirvana). Si vous fermez les neufs portes, vous obtiendrez ensuite le chemin de la libération sans aucun doute ».

Dans les écrits de Marpa le traducteur, « Si vous pratiquez Phowa, alors au moment où la mort s’approche, vous n’aurez aucun désespoir. Si à l’avance vous vous êtes habitués au chemin de Phowa, alors à l’heure de la mort vous serez plein de confiance, de gaîté…. ». Il est enseigné qu’une fois en Dewachen, il n’y a plus de retour dans les royaumes samsariques et qu’il est rapide et facile de réaliser l’illumination en cette terre pure. Ainsi, Phowa est comme une police d’assurance, si vous ne réalisez pas l’illumination de votre vivant, vous vous assurez de cet accomplissement après la mort.

Il est dit que des six « yoga de Naropa » Phowa est le plus le rapide et le plus direct chemin qui libère de la souffrance samsarique et conduit à l’illumination. Marpa a promis « il y a des enseignements pour atteindre à l’illumination, mais j’ai un enseignement, Phowa, qui offre l’illumination sans méditation ». Cette pratique est particulièrement appropriée de nos jours où la plupart d’entre nous n’ont pas le luxe de la pratique prolongée et de la méditation solitaire. En raison de ce manque et de la puissance accablante de la paresse dans l’ajournement de notre pratique, nous avons besoin désespérément d’un chemin simple et direct qui nous permette de transformer le stress de la vie moderne en force essentielle qui tranche à travers l’attachement des objets illusoires et réveille en nous la réalisation de notre propre nature de Bouddha. La vie est très courte et peut prendre fin soudainement et sans avertissement. Quand la mort advient, nous n’avons aucune possibilité d’y échapper : ni notre richesse accumulée ni notre renommée ne peuvent nous aider – rien ne peut aider excepté les précieux enseignements.

Les pratiquants suffisamment accomplis peuvent utiliser cette méthode peu compliquée et puissante pour le bénéfice des autres personnes et des animaux qui ont atteint la fin de leur vie. Les tibétains considèrent qu’il est extrêmement important de pratiquer Phowa pour la personne mourante et récemment décédée.

Une retraite de Phowa avec un lama qualifié a généralement comme résultat l’ouverture du canal central et la réalisation claire et tangible des signes d’accomplissement. L’apparition de ces signes assure le pratiquant de l’accès réussi en les royaumes illuminés  lorsque Phowa est pratiqué au moment de la mort. Le pratiquant dévoué qui n’a aucun doute dans le lama qualifié et les enseignements, peut expérimenter les signes de Phowa tout simplement en recevant le Lung  (transmission orale de bénédictions). Ceci a été expérimenté par de nombreux pratiquants dans le monde. Considérant qu‘il faudrait des années pour réaliser les signes d’accomplissement en pratiquant seul, en présence d’un maître de Phowa les signes surgissent plus facilement. C’est le grand bénéfice de Phowa : les signes de l’accomplissement s’obtiennent rapidement, sans années de stricte pratique de la méditation. Après avoir obtenu les signes, vous pouvez affronter la mort avec confiance. L’alternative pour la plupart des êtres est d’être emportés, sans ressources, par le flot du vent du karma dans le cycle du samsara.

Phowa est enseigné par toutes les écoles du bouddhisme tibétain, mais la lignée Drikung Kagyu a une place particulière dans cette pratique. 
Ayang Rinpoché enseigne Phowa  tant de la lignée Nyingma que Kagyu. Tous les tibétains sont familiarisés avec cette pratique : Tous les 12 ans, une ville de tentes et de pèlerins apparaissent autour du petit temple Drikung de Bhum Ngu Sumdo  pour trois semaines de pratique intensive de Phowa par le plus haut tulku des lamas Drikung.
Si le Phowa est pratiqué sans les précautions essentielles, sans le support d’une initiation reçue d’un détenteur de la lignée, les  résultats ne seront pas les mêmes et le pratiquant sera confronté à de nombreux dangers. L’initiation rendra la pratique sûre et les bénédictions de la lignée couleront naturellement pour le disciple, apportant des résultats rapides.
 
 



  
 
Par bouddisme - Publié dans : shava
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Samedi 1 septembre 6 01 /09 /Sep 17:59

  Sommes-nous en l'an 2007 de notre ère ? Pas sur

Laissons faire le temps

 

Nous ne laissons plus au temps d'avoir le temps


On est dans le ventre de notre mère on à pas eu  de choix et déjà !

On nait et déjà on nous parle de l’école

On quitte la fac et déjà on nous parle du travail

On part en vacances et déjà on vous parle de la rentrée

On travail et déjà on nous parle de la retraite

On meurt et déjà le cercueil est la

Prenons-nous ce temps ?

Ne laissons pas faire le temps

Prends bien TON temps

  MORT.JPG

 

 

Par laissé le temps au temps - Publié dans : douce
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